The Elder Scrolls V : Skyrim
Bienvenue pour la MINI-CHRONIQUE GAMING N°1 du 22/04/12 sur The Elder Scrolls V : Skyrim, un jeu que j'apprécie particulièrement et auquel je joue régulièrement !
Cette chronique sera divisée en 4 parties : le contexte, le scénario, le gameplay, et le verdict.
LE CONTEXTE
Sorti le 11/11/11, 5ème volet de la série des Elder Scrolls, successeur du précédent volet Oblivion, Skyrim bénéficie d'une avancée graphique à couper le souffle et d'une durée de vie impressionnante (300 heures de jeu pour le finir entièrement, en partant du principe qu'on on arrive à le terminer).
Dans l'Histoire (avec un grand H) des Elder Scrolls, il est le premier à avoir révolutionné le genre, tout en fournissant un système de personnalisation des personnages très bien fait, un scénario épique et impressionnant, des paysages grandioses ... Ce Skyrim est, en effet, un véritable colosse, mi FPS mi RPG, à jouer sans modération !
Un des multiples donjons dont Bordeciel regorge
Une clairière, lieu de repos de certains animaux (à chasser par la suite, bien entendu !)
LE SCÉNARIO
L'aventure débute dans une carriole, dans la contrée de Bordeciel (Skyrim). Vous êtes escorté jusqu'à un billot pour vous faire exécuter, vous et plusieurs rebelles. Vous pouvez alors choisir entre 10 races, chacune ayant des caractéristiques qui leur sont propres : Impériaux, Brétons, Nordiques, Argoniens, Elfes (des bois, hauts-elfes, noirs), Khajiits, Rougegardes et Orques.
C'est alors qu'un dragon intervient et la terreur s'installe alors dans le camp. Vous êtes donc forcés à rentrer dans le donjon d'Helgen, pour vous familiariser aux commandes de bases.
Lors de votre sortie, le jeu devient intéressant : vous avez alors accès à la totalité du planisphère ; c'est à vous de décider de votre sort. Quêtes principales, annexes, de guilde, daedra, il en existe des multitudes et c'est à vous de choisir par quoi commencer (un peu à la manière de Just Cause).
Dans ce jeu on ne vous enferme pas dans un carcan.
Le palais des rois, résidence du chef des rebelles, Ulfric Sombrage
LE GAMEPLAY
Dans Skyrim, les combats peuvent se faire dans 2 visions différentes: à la 3ème personne (style WoW) ou bien à la 1ère (style FPS).
L'action se déroule dans un univers héroïc-fantasy assez étonnant, mélangeant mécanique (les Dwemers) et primitisme (villages orcs) en passant par la civilisation classique (cités impériales)...
Vous êtes dotés d'une liberté totale, puisque vous pouvez tuer n'importe quel marchand un peu trop curieux sans vous faire remarquer, ou bien tuer l'amant de votre femme (ça m'est déjà arrivé --')... mais ce ne sont que d'infimes exemples de la "perversité" que l'on peut appliquer dans le jeu, ou bien de la justice, à vous de voir !
Un assassin de la Confrérie Noire en train de faire son job
LE VERDICT
Liant étroitement liberté et personnalisation, aventure et émotion, ce chef d’œuvre graphique restera longtemps dans les annales, du moins on l'espère !
À bientôt pour une prochaine MCG (c'est les initiales, oui et alors ? )
Un orque, la race primitive par excellence
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